Politie valt binnen bij Oostrandbewoonster die veelvuldig controletoren belt. Cornillie is regeringscommissaris bij Belgocontrol. En UBCNA vindt nieuw 17 knopen sprookje uit
Mails 1.7 en  30.6.1006
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Datum: Sat, 01 Jul 2006 11:05:31 +0200
Aan:C.H.
Onderwerp: Re: Avions - les riverains persécutés par le Ministre Landuyt

Beste C,

Ja, long time no hear.

Ik ben niet van de kliek van Anciaux, ik ben van geen enkele kliek. Van de mensen die ik ken beschouwt niemand zich als horen bij een zogenaamde kliek van Anciaux. Wij zijn en blijven a-politiek.

De Oostrand heeft veel politici die haar verdedigen en die zorgen dat haar eisen worden ingewilligd, de Noordrand niet een, want Anciaux is geen minister van Mobiliteit meer.

Au bout des nerfs, ik heb daar begrip voor, wij zijn het dag en nacht, week in week uit, behalve als er even N of No wind is en dat is zelden, dus ik hoop dat die wanhopige inwoonster die de politie over de vloer kreeg (belachelijk machtsvertoon natuurlijk en abusievelijk misbruik... maar naar de toren bellen is geen oplossing, daar ligt het kalf niet gebonden) zich kan inleven in wat wij, haar noorderburen veel langer en veelvuldiger moeten doorstaan. De meetresultaten van BIAC en AMINAL liegen niet.

Nogmaals: het probleem is niet de Noordrand die volgens de UBCNA voorzitter NIETS wil of zou hebben (die man kan zeker niet lezen, of tellen?). E.e.a staat op onze site onder reacties.
Het probleem is en blijft Brussel. Als die haar deel neemt is het voor iedereen leefbaar, op voorwaarde dat de luchthaven niet ongebreideld groeit en op de afspraken tussen de federale regering en Macquarie dienaangaande heeft bij mijn weten niemand buiten de betrokkenen zicht. Als het nu  bij u al te zwaar is en het komt er bij ons dan nog bij, hoe kan het hier dan ooit nog leefbaar zijn.

Natuurlijk moet er bij u niet geconcentreerd gevlogen worden maar is het de Noordrand die daarvoor gezorgd heeft? U dient redelijk te blijven. Het is erg, heel erg, die vliegtuighinder maar we blijven mensen.

Dat van die 17 kn is totaal verzonnen, zoals veel UBCNA argumenten.

We zullen daar op tijd en stond wel eens een antwoord op geven.

En voor de rest: wanneer eisen Noord- en Oostrand samen een objectief, eerlijk geluidskadaster?

met vriendelijke groet
J.O.
Grimbergen

Beste J.
long time no write...
ik dacht dat ik dit naar U moest sturen
ik veronderstel dat U zulke praktijken ook niet aanvaard

groet

C.H.

Le Ministre Landuyt donne des ordres aux contrôleurs aériens de Belgocontrol pour intimider et faire peur aux riverains de l'aéroport

Nous avons appris avec stupeur qu'une riveraine respectable de la piste d'atterrissage 02, énervée et mise à bout par des centaines d'atterrissages illicites et abusifs, avait eu droit hier jeudi 29 juin 2006 vers 19 heures 15, à une descente de police en bonne et due forme dans son habitation privée de Crainhem au motif qu'elle mettait la sécurité de la navigation aérienne en danger par des appels téléphoniques intempestifs à la tour de contrôle de l'aéroport de Bruxelles-National.
L'UBCNA dénonce cette nouvelle intimidation de Landuyt contre les riverains, après son mépris témoigné à leur égard en ne voulant pas d'abord les entendre en commission de l'infrastructure du parlement puis en n'y assistant pas du tout, et enfin par ses attitudes dédaigneuses face aux parlementaires fédéraux et aux médiateurs fédéraux.
L'UBCNA rappelle que le personnel de garde du central téléphonique de BIAC communique sur simple demande le numéro de téléphone de la tour de contrôle sise à Steenokkerzeel ( 02.206.25.xx ), lequel aboutit chez un contrôleur aérien qui se fait nommer abusivement " tower supervisor " et qui témoigne d'un manque total de courtoisie et de diplomatie à l'égard de ses interlocuteurs.
Ce numéro n'a rien de secret, n'est pas confidentiel, n'est pas un numéro d'alerte ou de secours, mais bien celui d'un simple poste public de téléphone; toute personne qui le demande peut en prendre connaissance très facilement chez BIAC.
Depuis 3 jours, la piste 02 est utilisée de façon illicite sans aucune raison de vent. Pour mémoire, cette piste ne peut être activée qu'à partir du seul moment où la valeur de composante de vent arrière sur la piste historique 25 droite dépasse la norme de 7 noeuds rafales incluses. Or, selon les dispositions internationales en vigueur dans le monde ( sauf visiblement en Belgique ), une rafale est une variation constante de vent de minimum 10 noeuds, ce qui voudrait dire que l'on ne peut utiliser la 02 qu'avec un vent de +/- 17 noeuds, alors que pour soulager les petit et grand Noordrand de la clique à Anciaux, on active la 02 avec un vent de 5 noeuds avec des rafales de 1 à 2 noeuds ( ce qui n'est donc pas la réglementation internationale ).
Cette riveraine, énervée et à bout, a téléphoné à la tour de contrôle de sa propre initiative pour demander les raisons de l'utilisation de la piste d'atterrissage 02 avec pour seule réponse qu'on lui claquait le téléphone au nez. Quelle ne fut pas sa surprise, hier, alors qu'elle avait bien appelé la tour de contrôle vers 18 heures 30; de voir débarquer à l'improviste dans son salon sans autre forme d'avertissement, deux policiers en uniforme de la zone WOKRA de Crainhem.
Les policiers ont fouillé la maison à la recherche d'abord d'un émetteur de radio libre qui aurait brouillé ou perturbé les communications entre la tour et les avions, puis ils ont déclaré que c'était sa télévision ou son antenne parabolique qui provoqueraient des interférences dans les communications radiophoniques des avions; pour finalement déclarer qu'ils avaient été envoyés par Belgocontrol suite aux appels téléphoniques et que cette visite était un dernier avertissement.
Les policiers lui ont aussi dit qu'en téléphonant avec son GSM depuis son jardin au moment où un avion la survolait, elle mettait en danger la vie des passagers des avions, car les ondes de son GSM perturbaient les liaisons radio entre les avions et la tour, incroyable !
Certains contrôleurs aériens, très proches du Noordrand, semblent donc au-dessus des Lois et ne doivent rendre de compte à aucune autorité de contrôle. Ils estiment qu'ils n'ont pas à se justifier et que toute personne qui les dérange doit recevoir la visite de la police.
Après les menaces de mort à l'encontre du médiateur et les pressions exercées sur lui par Anciaux et Landuyt, après l'arrestation d'une personne survolée qui avait adressé des mails vengeurs à Anciaux, voici que maintenant l'accès à l'information est refusé par les contrôleurs aériens de Belgocontrol.
Parfois, un contrôleur aérien plus sympathique et francophone officie encore rarement à la tour, il donne alors une réponse rapide mais demande malheureusement aux appelants de téléphoner au service de médiation de l'aéroport. Dommage que le numéro donné soit l'ancien numéro de ce service, alors que ce service en déménageant près de l'aéroport en décembre 2004 dispose depuis d'un autre numéro.
Les riverains ont juste le droit de se taire dans ce pays, et surtout de ne pas oser exprimer la moindre remarque contre la politique de dispersion des avions .
 La prochaine étape de ce contrôle de la communication sera certainement la suppression définitive de l'efficace service de médiation, qui lui au moins répond en détail à toutes les questions et plaintes, et son remplacement par un Institut de Gestion ( et non de diminution ) des nuisances sonores à la tête duquel on mettra l'actuel chef de cabinet de Landuyt et père spirituel du plan de dispersion, un certain Jan Cornillie , qui est aussi, et comme par hasard, commissaire du gouvernement à ... Belgocontrol !!!